voyage 2 (libre)

Le centre était naturellement en ébulittion même en cette période de l'année.
Parmit tout ces gens qui allaient d'étalage en étalage, les familles qui se promenaient et les enfants qui jouaient un peu partout, il y avait un quatror qui était étroitement surveillait par une équipe de Chunnin qui ne se cachait pas. L'équipe semblait occupé à d'autres tâches mais leurs regards ne cessaient de loucher vers le quatror qui discutait.
Dans ce quatror, il y avait le représentant du village en l'absence de Kage et de deux Juunin avec un homme en long manteau marron, le regard bleu/vert acier, le visage impassible.

"Ce que vous nous demandez est inutile. Un traité de soutient au pays de la brume. Il n'y a pas de Kage là bas et ici non plus vous nous faites perdre mon temps."

"La Guilde ne fait perdre du temps à personne, mais l'inverse"

Les trois se crispèrent sous cette insulte à peine voilée. Rongar regarda le représentant avant de forcer le passage écartant brusquement d'un coup d'épaule les trois qui le regardèrent avec énervement partir dans le centre ville.
Rongar ne se retourna pas un seul instant ni même ne ralentit quand il renversa une petite fille qui pleura. Il entra dans un établissement pour adulte et se présenta à la réceptionniste qui trembla en le voyant.

"Mm... Mon... Monsieur.... Que... Vous êtes.... En avance..."

Elle se précipita dans l'arrière boutique et deux jeunes femmes en robes courtes arrivèrent en souriant à Rongar. L'une d'elle s'approcha de lui avant de prendre son bras comme une enfant ne voulant plus lâcher son ours en peluche

"Oooh. Mais c'est le Commandant. J'ai trouvé mon amie Sabrina qui vous fera beaucoup de bien, Commandant. Je vous assure que vous ne le regretterez absoluement pas."

"Je suis très heureuse de vous connaitre, Monsieur le Commandant."

Salua Sabrina, puis vint prendre l'autre bras. La réceptionniste arriva légèrement essouflé et lui tendit une clé que Sabrina prit. Ils montèrent à l'étage tout en plaisantant entre elles alors que Rongar restait impassible, ils entrèrent et refermèrent derrière eux. Immédiatemment elles s'éloignèrent de rongar pour que l'une d'elle aille s'allonger sur le lit avec un soupir d'aise et l'autre à la coiffeuse pour regarder son maquillage.

"Vous avez pas réussi à le convaincre, n'est ce pas? Sinon vous ne seriez pas là, Commandant."

Rongar ne prêta pas attention plus que ça aux deux jeunes femmes et alla près de la table dans l'angle à gauche et commença à déposer un étrange attiraille ainsi que des outils de mécaniques.

"Sophie je..."

"Pas encore Sabrina. Le Commandant doit faire les mesures neccéssaires. Rappelle toi de ce que j'ai dis. Même s'il ne parle pas ou ne semble pas émettre le moindre signe raconte lui ce que tu sais."

Sabrina regarda ce que faisait Rongar dans son coin par le miroir de sa coiffeuse avant de faire un signe dedans que des yeux virent à l'extérieur.

Après sa longue et desesperer marche dans le désert de Suna, ainsi que son escapade de courte duré dans une ville malfamé qui semblerait s'appelerait Ame, il voulait un repos réparateur. Cependant, au comble de la malchance, il lui semblait qu'il ne savait pas encore ou est-ce qu'il était tomber ! Pas que le paysage lui faisait regretter le chemin qu'il avait emprunté, mais sont but n'était pas atteind. Karakura semblait être inconnu de tous, et pourtant, il devait s'y rendre ! Devinant quelque présence de shinigami dans le village, le Vizard décida de prendre la voie des air. Tout en gambadant joyeusement d'un arbre à l'autre, il regardait en dessous de lui, jusqu'à temps qu'il tombe sur quelque chose à son goût.

- WAH ! Qu'elle est jolie ! vien voir p...

Mikami sentit que son pied touchait le vide, un moment, il regarda sour lui pour constaté qu'il n'avait pas sauter assez loin.

- WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH

Ses doigts aggripèrent les bords d'une fenêtre, ne sachant pas que s'il aurait su avant, il se serait laisser tomber.

- Euh... au secour ! À l'aide ! Je vais tomber !

Dans la chambre, tout le monde se tut en entendant l'appelle à l'aide. Rongar dégaina immédiatement et s'approcha de la fenêtre prudemment.
Sophie bafouilla légèrement apeuré :

"Commandant ! Aucunes de nous ne vous veut du mal. PErsonne ici ne..."

Sophie s'arrêta de parler sous l'implusion d'un regard froid de Rongar. Ce dernier jeta un oeil par la fenêtre et y vit une main. Plisant légèrement les yeux, il fit passer sa main sur le verrou de la vitre pour l'ouvrir et découvrir le visiteur. Le regard froid du Commandant croisa celui de Rakushi. L'arme s'arma avant de se lever vers le front de Rakushi. Rongar détourna subitemment le regard pour voir qui faisait un mouvement si brusque. Le magnum hurla une balle dans l'emplacement de la tête de l'impudent qui y était accroché avant que Rongar ne s'éloigne, sans vérifier le rebord de la fenêtre, pour pointer Sabrina qui essaya d'atteindre la porte mais son arme cracha un nouveau projectile qui fit voler la jeune femme dans la pièce avant de retomber dans la salle de bain à côté.
Sophie hurla mais fut coupée par la main de Rongar qui se posa sur sa bouche. Les deux se regardèrent longuement alors que la peur envahissait entièrement Sophie qui ne comprennait rien de ce qui se passait. Puis il retira sa main de devant la bouche de Sophie qui en eut les larmes aux yeux.

"Piège"

Ce simple mot fit partir en courant Sophie sans demander son reste. Rongar venait de comprendre que la tentative de fuite de Sabrina l'avait amenné dans un piège. Les questions sont : qui? pourquoi?
Mais en plus ce drôle de bonhomme à la fenêtre qui...

Pour la première fois de ça vie, le Vizard était menacé de mort. Il avait demander de l'aide, n'avait rien reçu de plus que la peur de sa vie. Il avait entre-aperçu un homme s'approche, juste son regard l'avait fait frissonné, alors quand il avait vue l'arme à feu pointé sur lui, il s'était presque évanoui. Au dernier instant, il fut emporte dans un tourbillon de feuille. Son corps tomba par contre durement sur le sol, la concentration lui manquant. Son coeur débattait fortement dans sa poitrine, mais il était pas un lâche. Ou du moins, il essayait de s'en convaincre. Mikami avait entendu des voix, celles de des femmes et il avait entendu les autres coups de feu. Qui pouvait bien tiré sur la beauté de ce monde ?

En un instant, le Vizard se retrouvait au bord de la fenêtre, dans une position beaucoup plus confortable que la précédente. Il se tenait simplement debout dans le vide.

- Excusez moi, monsieur très très épeurant, pourquoi avoir tiré sur la demoiselle ?

Mikami vit l'arme se pointé vers lui une deuxième fois.

- De..de ... désoler, d'accord ! c'est pas mes affaires... mais... pourquoi moi ?

Le pauvre Vizard tremblant regardait l'arme avec interet, il se disait qu'il pouvait déjà faire ses prières. Être toucher par cette arme lui aporterait-il la mort assuré ?

Rongar n'en revenait pas de voir ce type là. Mais au vu de ses questions et de sa peur, il devait être hors du coup.
Bizarre que le moment du piège se soit déclenché au moment de son apparition à moins que la conjecture des deux événements soit insolite.

Rongar ne se laissa pas abuser par ce hasard et prit quelques précausions. D'un tir il referma la porte en visa le côté de la poignet ce qui la fit rebondir et alla se loger dans le verrou de la fenêtre referma ses volets à clapet sur le dos du vizard.

"Pas la peine de parler inutilement."

La voix de rongar raisonna dans la pièce comme une promesse de moments difficiles.

"Tu es une erreur. Tu... Tu n'est pas un shinigami. Tu es... autre chose. Ce qui est dérangeant. Mais trêve de bavardage. Qu'as tu vu dehors?"

Rongar rechargea les trois balles utilisaient par des neuves avant d'aller examiner la jeune fille qui était morte pour de bon. Le trou dans son ventre était guère gros mais dans son dos on aurait dit qu'un pétard l'avait fait exploser de l'intérieur. Il laissa le corps, les yeux grands ouvert, la bouche à peine fermé ainsi dans la salle de bain et se retourna vers le vizard.

"Ah moins que tu ne sois celui qui va conduire cette jeune femme dans un monde meilleure?"

Le Vizard était completement dépasser par la situation, la violence du ninja, assassin de jolie demoiselle, lui parraissait insensé ! Mais de sa fenêtre perché, il n'avait rien spu de la situation... pourtant, elle ne semblait pas bien méchante, et ce fut un grand soulagement qu'elle fut emmener hors de sa vue. En béguaillant, il tenta furtivement une sortie de ce gouffre dans lequel il s'installait face à cet homme bien étrange.

- De... dehors ? De... des femmes... je veux dire.... Hey ! Et c'est quoi cette histoire pas comme un shinigami ?

La pauvre Mikami était completement dérouté, ne sachant plus ou donner de la tête. Sa situation était désesperer.

- La conduire ? Je sais foutrement pas faire ce genre de chose ! J'ai pas fait mon academie... Et puis... T'es qui ? Et oh, j'ai pas vraiment besoin de savoir... comme le pourquoi tu as tué cette femme et ou le pourquoi tu m'as tiré dessus alors que je cherchait de l'aide.

Le vizard réfléchit un peu puis rajouta.

- Finalement, je veux vraiment savoir, pourquoi tu m'as tiré dessus...? T'aurais pu me tuer !!!

Rongar regarda cet être étrange avec ce regard froid et inexpressif qu'on lui connaissait.
Il ne répondait pas à ça question ce qui lui faisait perdre du temps. Qui sait ce qui se tramait? Il leva son arme et arma le chien dans un clic métallique et visa de nouveau la poitrine du Vizard.

"Je peux arranger la chose si tu ne cesses de piailler inutilement tout en refusant de me répondre, abrutit !"

Sa voix venait de se charger de menace.
Soudain, des bruits précipitaient dans les escaliers se firent entendre ainsi que des voix basses mais impossible de savoir ce qu'elles disaient, mais cellà ne détourna pas l'attention de Rongar envers le vizard qui semblait de plus en plus perdu par les propos du Commandant.

Le jeune Vizard resta pétrifié, cet homme était tout simplement... effrayant. Il dégageait une aura de meurtrier. Mikami voulu reculé doucement, mais l'arme pointé sur lui le rendait maladroit. Ses jambes tremblantes, comme il l'évaluait, ne le sountiendraient plus très longtemps. Une sueur froide coula dans son cou. Interieurement, il se traita de chieux, et une voix lui répondit à l'affirmatif. Le reiatsu tremblant du Vizard devint fort, éttouffant, terrifiant. Ses iris noir se cernèrent d'un bleu glacial. Il avait fait fuir toute peur.

- D'accord... je comprend.

Sa voix, plus ferme et mature, flottait dans l'air avec un écho malsain.

- Je n'ai aucune idée de ce que vous veux les personnes en approche, mais je peux vous offrir mon aide. Après, nous pourrons discuter.

Ses propos, dit sans aucune menace, était presque une berçeuse, tellement les paroles coulaient bien. Il était évident dans sa manière de parler, qu'il n'était pas ennemi de Rongar et même l'aura qu'il dégageait était apaisante.

"Recule !"

rongar se tourna vers la porte et commença une série de mouvement avec son arme et s'arrêta subitement.

"Hypton ! Technique des mille balles !"

Son arme rugit avec une violence rare et ne cessa de cracher des balles dans un concert de détonation assourdissante qui déchiqueta la porte, les murs à côté et un peu les escaliers ainsi que la pièce en face et tout le meublier dans la trajectoire. Rongar cessa de tirer et redressa son arme fumante dans une pièce enfumée.

"Vous ne servez à rien."

Il frappa subitement le sol de son poing et passa à travers le plancher qui céda sous son poids. Rongar attérit dans la cuisine ce qui surpris tout le monde. Rongar réajusta sa veste et partie d'un pas tranquille dans le hall d'entrée pour se faire agresser par deux ninjas qui eurent pas le droit à un regard. Le premier loupa Rongar dans son bond et reçu la lame tranchante du canon transformait par Rongar et le rejeta sur le côté tout en continuant de marcher. Le second fut attrapé à la gorge et n'eut pas le temps de se rendre compte de la poigne de Rongar qu'il eut la pomme d'adam arraché. Il s'arrêta au guiché où la récéptionniste tremblait.

"La Guilde prendra en charge les dégâts. Qui veut ma peau et le shinigami qui est?"

La réceptionniste leva le bras et un kunai vola dans le dos de Rongar qui dégaina son second magnum et tira droit dedans qui se coupa en deux et la balle alla se loger dans la poitrine de l'agresseur qui s'éffondra. Il y avait du bruit dans la chambre. Sans doute le shinigami qui se faisait tailler en pièce. Et ces pas précipités dans les escaliers?

Le Vizard observa sans grand étonnement le chef de guilde faire la peau aux assaillants. S'il aurait du être étonner, ça avait remarquablement échouer. Ses yeux comme des abysse suivirent les mouvements des corps morts dans leur chute. Alors que Rongar, d'après son point de vue, fuyait. Il restait en vie, encore une bonne poigné de ces ordures, pour la plupart, à l'agonie.

- Holà ! Qu'est-ce qu'il a été brutal avec vous les gars...

Mikami s'avança vers eux, d'une démarche surnaturel, grâcieuse. Il leur montra une main, signe qu'il leur pretait main forte.

- Je ne suis pas avec lui, mais j'ai maintenant une raison d'être contre lui... Blesser des gens... ainsi...

Leurs yeux s'emplirent d'une lueur d'espoir, leur persuation n'avait pas été bien difficile. C'était temps mieux, il voulait s'amuser au plus vite. Le Vizard s'approcha d'un des corps, un homme assez jeune, qui n'avait aucune chance de survivre. Avec un sourire de réelle plaisir, il déposa sa main sur sa tête. Une ligne rouge aparu au milieux du front de l'homme, et un filet de sang en sortie. Paniqué, il fixa Mikami. Un grand cri s'échapa de l'homme, avant que son corps ne retombe, completement tranché en deux, sur le sens de la verticale.

- Il n'avait aucune chance de survivre... comme lui aussi.

Il pointa un autre homme, qui de frayait écarquilla les yeux et dans une fuite desesperer, tenta la fuite. Le Vizard pointa un doigt vers l'homme en fuite. Un vent violent le cogna de dos et l'enfonça dans un mur. On entendit des craquements d'os sonores, avant que l'homme s'écroule, le cou dans une position plutôt étrange.

- Finalement, je crois que personne ici ne va survivre.

Dans un mouvement élégant, il leva les main jusqu'au niveau de ses épaules. Des feuilles d'un vert clair s'infiltrèrent de part la fenêtre, brisant le verre. Il referma les main. Parmit tout ce vert étincelant, il n'eu que des cris et la couleur rouge.Content de lui, il dévala les marches, sourire malsain aux lèvres, tennant son Zanpakutô au fourreau dans sa main gauche. En aperçevant Rongar, il devint un peu plus sérieux, et s'approcha avec prudence.

- Nous étions tombé sur vous par hasard messire, alors on se calme, nous ne sommes pas votre ennemi.